Les Vacances 4 : Mauvais Touché Mais L’Essai Est Bien Transformé

Les vacances ont bien commencé, je peux même dire très bien, dès mon premier jour de congé mais alors là! Je suis chez mon cousin depuis à peine 4 jours et aujourd’hui je me retrouve dans un lit d’hôpital. Il y a 2 jours je me suis fait renversé par une voiture, la conductrice avait un peu trop bu et ne m’a pas vu malgré mon t-shirt rouge et les réverbères. Mais ça aurait pu être pire heureusement elle ne roulait pas vite, je me suis fait opérer du mollet droit et je suis maintenant alité avec une sonde dans la bite.

Hier une jolie infirmière blonde m’a fait ma toilette, bien que j’étais sous une grosse dose de morphine j’ai bien pu profiter de la magnifique vue qu’elle m’offrait sur sa généreuse poitrine à chaque fois qu’elle se penchait vers moi. Quand elle a passé son gant sur mon entrejambe j’ai senti que ma queue réagissait mais impossible de tenter quoi que se soit tellement j’étais dans les vapes. Mais cette nuit j’ai rêvé de ses 2 beaux seins qui se baladaient nus dans sa blouse.

Ce matin j’attends avec impatience la visite de mon infirmière, au premier tour de garde j’ai le droit à une vieille d’au moins 60 ans, l’air très sévère et qui semble totalement asexuée. Heureusement quand vient l’air de la toilette je retrouve ma belle blonde de la vieille qui dans un grand sourire me dit:
« Bonjour Mr Romain, je suis Christelle, vous vous souvenez de moi? »
Je lui fait non de la tête même si je l’ai immédiatement reconnue et la salue à mon tour.
Elle regarde ma fiche de soin, le niveau des sachets reliés à mon corps par des tuyaux et rajoute:
« Je vais vous fair votre toilette, vous êtes d’accord? »
Avec un sourire coquin je lui réponds:
« Avec plaisir Christelle, ça va me faire du bien! »

Elle me rend mon sourire et retire le drap, Christelle m’aide à soulever la tête et défait le seul noeud de ma chemise d’hôpital. Elle me retire les deux manche et replie le « pyjama » en son milieu.

Elle prend un gant dans son chariot, elle le mouille et le passe sur mon torse poilu. Je ne sais pas si je me fais des films mais j’ai plus l’impression qu’elle me caresse plutôt qu’elle me nettoie! Ensuite elle me met du savon et me rince avec un gant propre en prenant tout son temps.

Elle prend une chemise de nuit propre, m’aide à enfiler les deux bras dans les manche et me recouvre le haut du corps après avoir refait un noeud dans ma nuque. Puis elle me recouvre entièrement et retire le pyjama sale. Christelle soulevé au dessus des genoux mon pyjama propre et me nettoie maintenant la jambe non opérée, quand elle au niveau de la cuisse je sens bien que le gant me titille les couilles, je me demande si c’est intentionnellement. Surtout que c’est pareil avec la cuisse de la jambe opérée.

Après m’avoir séché et rincer elle me soulève la jambe valide pour me nettoyer le plus possible les fesses, moi qui aime bien que l’on s’occupe d mon dernière, je trouve la position trop inconfortable pour apprécier et je suis content quand elle fini surtout que maintenant elle s’occupe de mon sexe.

D’abord elle passe le gant humide sur mes couilles, très délicatement et un long moment, je sens ma bite gonflée. Quand sa main gantée remonte je sens ma queue encore plus durcir malgré la sonde urinaire qui est toujours là. Elle continue ses mouvements avec un grand sourire et quand elle commence à savonner mon costume 3 pièces elle me dit:
« Je vois que vous êtes bien plus en forme qu’hier! »

Je ne peux m’empêcher de gémir, son sourire s’agrandit et ses caresses deviennent de plus en plus précise. Je sens, malgré le gant, qu’avec son pouce elle insiste sur mon frein alors que ses 4 autres doigts enserrent ma bite raide. J’apprécie de plus en plus sa main mais trop rapidement à mon gout elle arrête tout et me précise:
« Il faut mieux ne pas aller trop loin, je n’ai pas envie de vous causer une infection dans cette belle région! »
Et elle me fait un clin d’oeil alors qu’elle finit de me rincer.


Ensuite elle arrange mon « pyjama », me remet le drap sur moi et pousse son chariot pour sortir. Je ne suis plus qu’à moitié raide et je lui dit avec une certaine impatience:
« A demain Christelle »
« A demain Mr Romain »
Et elle disparait derrière la porte de ma chambre. En voyant le hublot sur la porte et en entendant le bruit du couloir je me demande si quelqu’un nous a vu ou entendu.

Je finis la journée par une visite de mon cousin à qui je raconte cette anecdote et qui me console en me disant qu’il connait une infirmière dans la région qui a très bonne réputation et qu’il va la contacter un de ces soirs pour qu’elle s’occupe de moi quand je retournerai chez lui. Je finis la journée en écoutant la radio mais surtout en repensant à la main de Christelle sur moi et à nouveau je bande. Vu ce qu’elle m’a dit je n’ose pas me branler, j’ai trop de peur de l’infection alors je m’endors en pensant à elle.

La nuit est assez agitée, j’ai du mal à dormir surtout que toutes les quelques heures des personnes rentrent dans ma chambre et allume la lumière. Je ne suis qu’à moitié réveillé et je les laisse faire ce qu’ils ont à faire pendant que j’essaye de me reposer. Quand je me réveille, crevé, je suis motivé par la visite de Christelle mais c’est la même vieille que l’autre jour, en plus elle est encore plus désagréable et c’est elle qui retire ma sonde urinaire! Je préfère oublier cet épisode!

Quand vient le moment de la toilette mon infirmière préférée n’est toujours pas là, je refuse que la mégère me lave alors je prétexte de me sentir pas très bien pour refuser sa toilette, elle ressort en bougonnant. Un peu après le plateau du soir, mon rayon de soleil de la journée rentre enfin dans ma chambre, elle a une tête pas contente et me dit:
« Qu’est ce qu’il se passe Mr Romain, vous n’avez pas mangé ce midi »
Elle regarde mon plateau et rajoute:
« Pas ce soir non plus et en plus vous refusez de vous laver.
 »
Je me tasse un peu dans mon lit et je lui d’un ton apitoyant:
« Je ne sentais pas bien mais maintenant ça va mieux, je suis d’accord de faire ma toilette »
Avec un grand sourire, Christelle me dit qu’elle doit finir le tour des chambres et qu’elle revient avec son chariot.

Quand elle réapparaît à l’entrée de ma chambre je remarque tout de suite que sa blouse et un peu plus ouverte sur sa poitrine opulente ce qui me fait immédiatement bander. Elle approche de mon lit et retire mon drap, malgré la chemise d’hôpital mon érection est très visible, elle rougit et me dit que je suis en pleine forme puis retourne vers la porte qu’elle ferme à clé.

Quand elle revient elle me retire le pyjama, je suis nu et en érection devant elle. Elle prend de l’eau dans ses mains et me mouille le sexe, ensuite elle remplit sa paume de savon et commence à me masturber avec. Je n’ose pas dire un mot de peur que tout s’arrête, ça fait maintenant plusieurs jours que je n’ai pas giclé et je sens que j’ai les couilles pleines.

Avec sa main gauche elle monte et descend le long de ma tige alors que son pouce droit s’occupe alternativement de mon gland et mon frein avec des pressions variable. Je suis raide comme un piquet et un peu trop rapidement je commence à avoir la chair de poule dans les jambes. Je me retiens au maximum pour profiter le plus possible de ce moment.

Mes mouvement me trahissent, elle remarque que je suis au bord de la jouissance alors elle empoigne ma bite avec sa main et continue à me titiller le frein alors que son autre main me malaxe les couilles et me dit en fixant droit dans les yeux:
« Laissez vous aller Mr Romain »
Jusqu’à présent je fixais ses mains entrain de cajoler mon sexe mais maintenant je plonge mon regard dans le sien et comme elle me l’a conseillé je me détends.

Je sens rapidement mes couilles se figer, ma queue gonfler un peu plus et la première giclée s’évacue pour venir s’écraser sur mon visage alors que les 4 suivantes badigeonne mon ventre pendant que la main de Christelle continue de me branler énergiquement jusqu’à me faire sortir les dernières et je commence même à dégonfler.


Elle dépose ma bite ma bite à demi dure sur mon ventre et se retourne pour se laver les mains dans son chariot. Ensuite elle prend un gant propre qu’elle humidifie et commence à nettoyer le sperme disséminé sur mon corps en me disant:
« Eh ben! Vous aviez vraiment besoin de vous vider! »
Elle finit de me nettoyer le corps dans un grand silence, je n’ose pas dire un mot mais d’un autre côté je sens ce silence très pesant.

Quand elle finit de me rhabiller elle me précise qu’elle est de garde et que si j’ai faim que je n’hésite pas à la sonner. J’ai très envie d’appuyer sur le bouton rouge pour l’appeler mais pas pour grignoter quelque chose c’est plutôt d’elle que j’ai faim. Je réfléchis le bip à la main d’une bonne excuse pour pouvoir faire venir mon infirmière préférée quand la porte s’ouvre sur Christelle avec un plateau repas dans les mains.

Elle le dépose sur la table qu’elle fait rouler jusqu’à moi et me dis que je dois manger pour reprendre des forces sinon elle sera obligé de me mettre une perfusion avec un autre mélange. Bien que je n’ai pas du tout envie d’avaler quoi que ce soit je prends une biscotte que je beurre et je mords dedans. Elle me regarde satisfaite et en sortant de ma chambre elle me dit:
« Je reviens dans 15 minutes, je veux que le plateau soit vide ».

J’aimerai finir tout le repas pour lui demander une récompense en échange mais une fois la deuxième biscotte finie je ne peux plus rien avaler. Je coupe la pomme en deux, je retire le trognon et je cache les morceaux de pommes dans le tiroir de ma table de nuit. Quand Christelle revient elle est contente de voir que j’ai un peu mangé même si elle me dit que j’aurai pu faire un plus grand effort.

Elle me caresse la joue, att mon plateau et s’apprête à quitter ma chambre quand je lui dis:
« Je peux vous parler un instant? »
Elle revient vers moi, pose le plateau et installe une chaise à côté de mon lit, dès qu’elle s’assoit son bip se met à sonner. Elle se lève et s’excuse:
« Une urgence »
Et elle disparait avec mon plateau dans les mains, quelques secondes plus tard elle réapparaît dans l’ouverture de la porte et me dit:
« Je suis là toute la nuit, n’hésitez pas à me biper en cas de besoin »

C’est bon j’ai mon prétexte pour la faire venir, je vais rester réveillé et quand j’entends que c’est calme je la bipe pour qu’elle m’aide à faire pipi et je mise sur une belle érection pour la fera céder de nouveau. Je surveille de temps en temps ma montre, il est 21h40 mais j’entends encore pas mal de bruit dans les couloirs.

Je me réveille en sursaut, j’att ma montre il est déjà 1H24. Pas de pitié surtout que je suis déjà en demi molle, j’att l’appareil accroché à mon lit et j’appuies sur le bouton rouge. Quelques instant plus tard, Christelle rentre dans ma chambre, j’ai la veilleuse d’allumer mais elle allume quand même la grande lumière est me demande:
« Tout va bien Mr Romain? »
Je lui dit que j’ai juste besoin du pistolet pour uriner.

Elle l’att dans ma table de nuit, quand Christelle se baisse je remarque qu’elle n’a que deux pressions d’attaché à sa blouse. Je vois parfaitement son sein et son teton gauche qui sort presque entièrement de sa blouse mais aussi qu’elle porte un slip en dentelle rouge, je suis au garde à vous. Quand elle se relève, elle retire la couverture et le drap de sur moi et découvre une nouvelle fois une tante à la place de mon pyjama et s’exclame:
« Je ne crois pas que vous arriverez à faire pipi avec une telle érection! »
En prenant l’air un peu gêné je lui réponds:
« Effectivement! »

Christelle soulève le bas de ma chemise de nuit et empoignant ma tige en me disant:
« Je vais vous aider! »
Elle se penche un peu plus ce qui soulève encore plus sa blouse et découvre complètement ses jambes. Sa main monte et descend le long de ma bite et je ne peux m’empêcher de caresser sa cuisse droite. Quand ma main remonte encore plus haut et effleure la naissance de ses fesses non seulement je comprends qu’elle porte un string mais en plus elle ferme les cuisses et les serre autour de ma main qu’elle bloque.

Sa main gauche s’attaque à mes couilles alors qu’elle continue de me branler mais fait aussi des petits mouvements de bassin pour frotter contre mes doigts sont petit triangle de tissu rouge. Je les agitent pour encore plus frictionner ses grandes lèvres et son clito, je sens son string être de plus en plus humide. Elle écarte les cuisses pour libérer ma main, j’en profite pour écarter le tissu rouge.

Je passe mon pouce entre ses grandes lèvres jusqu’à atteindre l’entrée de sa grotte qui est déjà bien ouverte. Je rentre mon doigt sans aucune difficulté et je le remue dans son sexe complètement trempé. Après une bonne dizaine de tours en elle, je retire mon pouce et je la pénètre avec mon index et mon majeur. Je les enfonce directement puis je commence un mouvement d’aller retour en elle d’abord tout doucement.

A un moment je cale au fond de Christelle mes deux doigts, la pression de ses mains sur ma bite et mes couilles augmente. Au moment ou je plaque mon pouce, encore recouvert de son jus, contre son clito elle enserre avec deux doigts la base de ma queue et commence à me lécher le gland tout en gémissant. J’augmente la pression de mon pouce et maintenant ses lèvres sont serrées autour de mon frein alors que sa langue joue encore plus avec mon champignon magique.

Je maintiens mon pouce appuyer contre son bouton et avec mes deux doigts je reprends les entrées et sorties dans sa grotte. Rapidement j’accélère le rythme alors que Christelle m’enfonce de plus en plus dans sa bouche. Au moment où mon gland commence à taper sa glotte je sens mes doigts de plus en plus humide. J’intensifie les mouvements de mon index et mon majeur, mon infirmière me malaxe les couilles alors que ses lèvres vont de mon frein à mes couilles à un rythme fou, je dois me retenir pour ne pas jouir.

Je cale à nouveau mes doigts au fond d’elle, mais cette fois je les bougent aussi en elle, et je reprends mes massages sur son clito. Malgré la bouche remplie, Christelle gémit de plus en plus. Quand je deviens plus brutale avec son petit bouton elle se met à me griffer légèrement la base de la queue et m’aspire en même temps qu’elle me suce. Je n’arrive plus à me retenir, je continue à mal traiter son clito quand je sens ma bite gonfler. Au moment où la première giclée lui remplie la bouche mon infirmière serre ses cuisses sur ma main et je sens son sexe se contracter autour de mes doigts.

Après la deuxième giclée je l’entends déglutir ce qui m’excite encore plus et je continue à me déverser en elle alors que sa cyprine coule maintenant jusqu’à mon avant bras. Je l’entends encore deux fois avaler mon jus, quelques instant après son étreinte sur ma main se dessert, je ne suis pas mécontent. Quand ses jambes sont plus écartées un petit flot coule de sa grotte et me mouille tout le bras.

Je retire tout doucement mes doigts de sa chatte, quand elle est libre mon infirmière se penche vers moi et dépose ses lèvres contre les miennes. Bien qu’elle est tout avalé son baiser à le goût de mon sperme et elle me dit:
« Maintenant il faut vous reposer Mr Romain, pour reprendre des forces. »
Elle m’embrasse de nouveau et quand son visage s’éloigne du mien je lui propose qu’on se tutoie. Elle accepte mais seulement quand on est seul.

Après un tel plaisir je n’ai aucun mal à m’endormir en rêvant à Christelle et tout ce qu’on va pouvoir faire d’ici ma sortie.

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